Comment s’est déroulée l’organisation d’un événement d’une telle ampleur autour de la diversité et de l’inclusion ?

T : « Très amusant ! Notre équipe d’organisateurs est déjà très diversifiée ; chacun apporte donc quelque chose de ses propres expériences en matière de diversité et d’inclusion. Nous avons également reçu un grand nombre de contributions de collègues qui sont un peu plus éloignés du sujet. Il s’agit là aussi d’informations utiles car nous souhaitons bien entendu que le programme d’une telle semaine soit aussi diversifié que possible. »

S : « Je suis tout à fait d’accord ! Le plus grand défi consiste peut-être à trouver un point de convergence car le sujet de la diversité et de l’inclusion est si vaste et il y a tellement d’informations pertinentes, intéressantes et fantastiques disponibles. Par où commencer alors ? Nous avons utilisé une enquête que nous avons menée l’année dernière auprès de tous les collègues de TOPdesk et avons décidé du programme de la semaine en fonction des résultats. »

D : « De plus, nous avons des collègues aux parcours fantastiques et des intervenants externes dont les connaissances sont vraiment un plus pour une telle semaine. Bien sûr, il y a des centaines d’histoires à raconter en interne, mais de temps en temps, un regard à travers les yeux de quelqu’un que vous ne connaissez pas est au moins aussi précieux ! »

Et quels sont les moments les plus mémorables ?

D : « Haha ! Il y en a tellement ! Mon préféré est la présentation du coup d’envoi quotidien, bien sûr. Mais les sessions ont également été une source d’inspiration. Nous avons pu voir de l’intérieur la publicité Hugo Boss, notamment le son de Lyzza. On y a remarqué que le son détermine ce que l’on voit – et donc ce dont on se souvient. Cela montre dans quelle mesure nous sommes influencés par les deux aspects ! Et notre collègue Laura, d’Australie, a parlé du pouvoir des textes et de la façon dont ils peuvent être misogynes. »

S : « Oh, l’exercice de partialité de Raziyah ! Nous avons essayé de découvrir le passé de chacun en posant toutes sortes de questions et avons pu remarquer que nous sommes enclins à faire des suppositions selon les goûts musicaux ou autres de quelqu’un. Ou lorsque nous avons été brièvement corrigés lorsque nous avons débuté la journée par ‘Ladies and Gentlemen’ après une session ultrasensible sur le genre donnée par notre collègue canadienne Andi. C’était très chouette que tout le monde ait remarqué que ce n’est pas inclusif ! »

T : « Et le pub quiz de Galore, bien sûr ! Légendaire. »

Quelles ont été les réactions les plus remarquables des collègues ?

S : « Haha, ce que je viens d’expliquer sur la déclaration de genre était très perspicace, mais surtout que les gens ont beaucoup appris et ont vraiment eu des révélations. Et aussi, beaucoup de suggestions pour les éditions futures car tous les sujets de la diversité et de l’inclusion n’ont pas été couverts cette fois-ci. Nous en avons suffisamment pour les futures versions ! »

D : « Juste ! Et l’intérêt et l’ouverture d’esprit créent un sentiment général d’acceptation parmi les collègues, ce qui est fantastique. En outre, les collègues sont de plus en plus conscients que certaines plaisanteries sont parfois plutôt en-dessous de la ceinture. J’ai entendu à plusieurs reprises la semaine dernière : ‘Oh, mais cette remarque est vraiment inappropriée’. C’est déjà un grand pas en avant ! »

T : « Je suis d’accord avec cela. La préparation de l’événement était très amusante et riche en enseignements pour nous, mais au cours de la semaine de la diversité et de l’inclusion, de plus en plus de nos collègues se sont mis au diapason. Des choses se sont mises en place et c’était perceptible ! »